La présentation du journal

Le format des journaux ne cesse de s’accroître jusqu’au début du XXe siècle, nécessitant une présentation en colonnes afin de faciliter la lecture.

De deux colonnes dans Le Messager des Alpes on passe à sept colonnes dans Le Petit Niçois de l’entre-deux-guerres. Même si Nice-Matin conserve un format traditionnel, une tendance à la réduction se manifeste.

Le Patriote est de ceux qui ont adopté le format dit « tabloïd ». Le nombre de pages, resté limité à quatre jusqu’au début du siècle, s’accroît rapidement passant de douze environ vers 1930 à une trentaine aujourd’hui.

L’apparition de la photographie a permis d’aérer le texte et a progressivement transformé la mise en page en supprimant le cadre rigide des colonnes.


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