La presse à la Libération
Le Petit Niçois et L’Eclaireur ayant continué à paraître après l’occupation de la zone sud, sont interdits par une série de mesures en septembre 1944 et leurs biens sont placés sous séquestre.
L’ordonnance du 6 mai 1944 affirme et rétablit la liberté de la presse et de l’information. L’ordonnance du 26 août 1944 vise à assurer la transparence des entreprises de presse et à éviter les concentrations. Dès la Libération, les résistants prennent possession des imprimeries et créent de nouveaux titres.
Combat est l’organe du mouvement modéré portant le même nom ; L’Espoir représente le Parti socialiste SFIO ; Le Cri, rapidement remplacé par L’Aurore porte les couleurs du Parti communiste ; Le Patriote Niçois est dirigé par le Front National.
Les chrétiens publient le quotidien La Liberté.