La mer occupe une place très importante dans la vie des communautés du comté de Nice, du comté de Provence, et plus tard des royaumes de France et de Piémont-Sardaigne, jusqu'au département des Alpes-Maritimes après 1860.  

Elle a été et est une ressource économique, une source de plaisirs et un exceptionnel terrain de jeu scientifique.

Elle permet de transporter les marchandises, de nourrir les hommes, de les divertir ; elle offre ses particularités ou ses bienfaits à la sagacité des chercheurs. L’influence de la mer sur le territoire des Alpes-Maritimes et ses habitants se traduit jusque dans le nom du département qu’elle borde et qu’elle magnifie : les Alpes-Maritimes.

Par l’exploitation de sources publiques ou privées, dont certaines inédites, naviguez dans une étude renouvelée sur la mer et les Alpes-Maritimes.

Mettre en perspective la production, la distribution et l’utilisation de l’électricité sur le territoire maralpin de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle : tel est le dessein de cette publication.
L’exploitation de sources souvent inédites conduit, du haut-pays au littoral, à revisiter des enjeux qui font écho à des préoccupations très contemporaines.
De la houille blaAnche au photovoltaïque, des besoins, des espoirs, des discussions parfois âpres concernant l’électrification des villages jusqu’au luxe des hôtels sur la côte, sont mis en perspective.
Les moyens de productions hydroélectriques sur les cours d’eau, l’éclairage des villes et des villages, les liens avec le tourisme, les dangers de l’électricité et la nécessité de moins consommer au fil du siècle sont présentés.
À l’heure où l’électricité est au cœur des débats, les Archives départementales ont cette exigence de faire partager la trajectoire singulière de cette source d’énergie dans les Alpes-Maritimes.

Catalogue en vente sur place, en librairie et sur le site de l’éditeur (Silvana Editoriale).

Reconnaître et remercier les soignants et les aidants est une question très contemporaine.
Elle a aussi des racines profondes.
La Grande Guerre en donne une illustration saisissante.  On estime à plus de 4 millions les soldats français blessés. Avec près de 150 hôpitaux temporaires et au moins 178 000 soldats hospitalisés, les Alpes-Maritimes et Monaco se distinguent.
Médecins, infirmiers, aidants et d’abord des femmes très souvent encadrées par la Croix-Rouge ont manifesté un engagement inédit.
Il fallait reconnaître celles et ceux qui s’étaient durablement dévoués au soin des blessés ou malades évacués des fronts du Nord, de l’Est et d’Orient. Par la médaille des épidémies, parfois la Légion d’honneur et principalement la médaille de la reconnaissance française, leur abnégation a été saluée.
Étrangers – notamment britanniques, italiens, belges, suisses, monégasques, américains, hollandais – ou français, ils sont plus de 500 à avoir été éligibles et près de 430 à avoir été décorés.
Célèbres ou, le plus souvent, inconnues, les femmes sont les premières éligibles et attributaires.
Au moyen d’archives inédites, le présent travail vise à rappeler leur engagement aussi discret qu’indispensable.

Catalogue en vente sur place, en librairie et sur le site de l’éditeur (Silvana Editoriale).